dimanche 8 août 2010

Suisse et les pollutions nucléaires russes.


Nucléaire. La grande presse vous cache la vérité, comme toujours...

Rejoindre la Suisse comme nouvel état membre de la confédération helvétique vous protégera vraiment, et efficacement, de nombreux maux, dont les nucléaires, les nano-particules, les cancers...Il y a plus de vérités en Suisse que dans la plupart des autres pays... En cas de danger, distribuons notamment de l'iode, des masques, des compteurs Geiger, des dosimètres...

Observatoire du nucléaire - http://observ.nucleaire.free.fr
Communiqué du vendredi 6 août 2010 - Contact : Stéphane Lhomme 06 64 100 333


Incendies en Russie - Zones contaminées par Tchernobyl

L'Observatoire du nucléaire conteste


les affirmations rassurantes de l'IRSN



Par ailleurs, il est très improbable que les Russes aient pu retirer


toutes les matières nucléaires du site de Sarov (menacé par le feu)
 


L'Observatoire du nucléaire conteste les affirmations (*) de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) à propos des incendies actuels en Russie qui menacent de toucher des zones contaminées par la catastrophe de Tchernobyl (26 avril 1986)  

Toute en reconnaissant que ces incendies pourraient générer des nuages de poussières pouvant atteindre le territoire français, l'IRSN prend immédiatement les devants en affirmant avec légèreté que "
les niveaux de concentration en particules de césium sont tellement bas qu'ils ne peuvent absolument pas engendrer une inquiétude sanitaire".

Ces affirmations font malheureusement écho à celles du SCPRI (l'organisme ancêtre de l'IRSN) qui avait prétendu en 1986 que les conséquences du nuage de Tchernobyl étaient totalement négligeables et ne nécessitaient aucune mesure sanitaire en France. 

A
ujourd'hui encore, du fait des incendies qui frappent la Russie, les risques sont bien réels dans tous les pays qui peuvent être touchés, et donc en France. Le problème principal est assurément le risque d'INHALATION de particules radioactives, en particulier de Césium. Dans ce cas, les particules radioactives se fixent dans l'organisme, en particulier dans les poumons, entraînant un très fort risque de cancer, lequel peut, selon les personnes, se déclarer très vite (en quelques années) ou beaucoup plus tard.

Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que ce risque par inhalation est bien réel, et important, 
même si la radioactivité est faible. Le CEA (Commissariat à l'énergie atomique) lui-même reconnaît le risque d'incorporation du Césium par inhalation (**). Les affirmations de l'IRSN sont donc d'une grande légèreté et doivent être contestées.

Démocratie directe, quelques avantages ( M
oratoires, notamment nucléaires. 
Initiatives et référendums notamment, au niveaux fédéraux, cantonaux, communaux...) : 

Les travaux notamment menés par les professeurs Feld et Kirchgässner ont montré en étudiant les résultats des référendums financiers aux USA et dans les cantons suisses que là où la démocratie directe existe, les impôts et les dépenses publiques sont un tiers plus bas que dans les pays où la démocratie est purement représentative.

L'endettement est de moitié plus faible."...
La TVA n'est que de 7,6 %
On ne conduit plus de guerres depuis des siècles.
On respecte les minorités, leurs langues et leurs coutumes.
Les impôts restent sur place, localement.
Le franc reste une monnaie stable et sérieuse.
La banque nationale suisse répartit les profits à ses citoyens, contrairement à l'Europe qui le donne, sic, aux banquiers... sous forme d'intérêts obligatoires et stupides.
On peut proposer des moratoires, notamment nucléaires.


Entre 1946 et 1990, les intérêts nets ont augmentés dans une proportion de 1 à 259,5: Un vol "légal" colossal.


La folie des dettes publiques à intérêt: Entre 1946 et 1990, les intérêts nets ont augmentés dans une 
proportion de 1 à 259,5, c'est devenu insupportable aujourd'hui.

Tous nos voisins peuvent aussi demander leur admission à la Suisse.

Plus de démocratie directe et de débats fondamentaux, pour alimenter la retraite de réflexion du Conseil fédéral du mois d'août.

La Suisse, c'est un processus historique continu de croissance par agrégations naturelles. Pourquoi l'interrompre alors que de nouvelles communautés frappent à notre porte de manière naturelle et démocratique ?

Pour la fête nationale, la présidente de la Confédération, Doris Leuthard, a invité la population à participer activement à l'avenir de la Suisse. Et a rendu hommage aux expatriés du pays, qui jouent un rôle important dans les relations entre la Suisse et l'étranger.

http://www.courrierinternational.com/article/2010/07/20/la-suisse-angle-mort-de-la-sarkozie

PAR AILLEURS :


L'Observatoire du nucléaire conteste aussi les affirmations des autorités Russes qui prétendent avoir évacué les matières nucléaires du site atomique de Sarov. En effet, il faut des décennies pour démanteler un site nucléaire, surtout lorsqu'il est ancien. Or le site de Sarov existe depuis les années 40 : il apparaît totalement improbable qu'il ait pu être nettoyé en quelques heures. Il est de fait évident que si, par malheur, les incendies atteignent ce site, les conséquences seront catastrophiques.


(*) http://www.irsn.fr/FR/Actualites_presse/Actualites//Pages/20100805_incendies-forets-russie.aspx

(**) http://www-prositon.cea.fr/espace-pedagogique/rayonnements-ionisants-et-sante/les-radionucleides/les-isotopes-du-cesium




De plus en plus de sangliers radioactifs en Allemagne :

http://www.7sur7.be/7s7/fr/2625/SOS-Planete/article/detail/1140622/2010/08/03/De-plus-en-plus-de-sangliers-radioactifs-en-Allemagne.dhtml
 

De plus en plus de sangliers radioactifs en Allemagne
La population de sangliers a fortement augmenté ces dernières années en Allemagne, mais le nombre d'animaux contaminés par l'explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl est également en hausse. Le gouvernement a d'ailleurs rémunéré les chasseurs pour les pertes occasionnées par ces sangliers radioactifs, qui ont quadruplés depuis 2007.

Les sangliers allemands font parler d'eux pour leur agressivité: les incidents se multiplient et les habitants proches des zones boisées ont de plus en plus peur d'en rencontrer sur leur route. Mais le pire est certainement que, plus de 25 ans après la catastrophe de Tchernobyl, les sangliers d'Allemagne restent tout autant contaminés par la radioactivité.

Selon le Ministère de l'Environnement allemand, près de 425.000 euros ont été versés en 2009 aux chasseurs comme compensation, la viande des sangliers étant trop contaminée pour pouvoir être consommée, une somme quatre fois plus importante qu'en 2007.

La raison de cette augmentation est simple: la population de sangliers s'est multipliée ces dernières années. Non seulement les sangliers ont accès à plus de nourriture grâce aux champs cultivés mais les hivers moins froids provoquent une augmentation des naissances. Résultat, durant la saison de chasse 2008/2009, près de 650.000 sangliers ont été abattus contre 287.000 l'année précédente, un record.

Si beaucoup de cette viande finit sa course dans les assiettes allemandes, une grande partie arrive tout simplement à la poubelle pour cause d'un trop haut niveau de radioactivité. Les animaux présentant un taux supérieur à 600 becquerels par kilo sont interdits à la consommation, mais dans certaines régions allemandes, ce niveau est beaucoup plus élevé.

D'après le Ministère de l'Environnement, la contamination moyenne des sangliers tués dans la Bayerischer Wald, une région forestière en Bavière située à la frontière de la République Tchèque, est de 7.000 becquerels par kilo.

Les sangliers sont particulièrement sujets à la contamination radioactive présente dans le sol à cause de leur alimentation (champignons, truffes... qui absorbent plus que les autres la radioactivité). (ca)
03/08/10 13h28

Publié le 09/10/2006 09:54 | LaDepeche.fr
http://www.ladepeche.fr/article/2006/10/09/64711-Les-sangliers-sont-plus-radioactifs-que-les-cepes.html
Les sangliers sont plus radioactifs que les cèpes
Hautes-Pyrénées.

Si l'étude menée dans les Hautes-Pyrénées par la Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité (Criirad) ne découragera pas les chercheurs de champignons, elle est plutôt alarmiste pour les amateurs de ventes de sangliers. Comme nous l'indiquions dans notre édition de samedi, dans les secteurs de Capvern, Tourmalet, Aspin, tunnel de Bielsa, la Criirad a relevé une concentration particulièrement importante de Césium 137, cette substance radioactive déposée par le nuage de Tchernobyl sur le sol français en 1987.

Ce césium est stocké par quelques racines et par les pieds de champignons, y compris ceux qui poussent maintenant. Il faudrait néanmoins en consommer à haute dose (150 fois par an) pour s'exposer à un cancer à très long terme. C'est précisément ce que font certains sangliers. Des taux dépassant trois fois la norme autorisée ont été relevés dans la viande de certains ongulés : jusqu'à 2000 becquerels (l'unité de radioactivité) dans un kilo alors que la norme autorisée se situe à 600. Dans une année de forte poussée de champignons, comme 2006, beaucoup des sangliers peuvent avoir ingéré de tels volumes, d'où l'appel à la vigilance de la Criirad qui précise : « La cuisson n'élimine pas les substances radioactives de la viande de sanglier ». Cet appel n'a pas été relayé par les pouvoirs publics qui depuis l'accident nucléaire de Tchernobyl en 1986 n'ont jamais fait analyser les sols. Il faut en moyenne 30 ans pour que le césium 137 finisse par disparaître.

Le cas des sangliers radioactifs. 
(déplacé depuis l'article, puis réintroduit le 21 nov 2009) [modifier]
http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Sanglier

Après la catastrophe de Tchernobyl, des sangliers radioactifs ont été signalés dans la plupart des zones touchées par le nuage.
En montagne, 16 ans après le passage du nuage radioactif en France (Est du Pays, Corse, Pyrénées), la radioactivité moyenne due au Césium 137 de Tchernobyl était deux fois plus élevée (20 000 Bq/m2) en forêt que sur les prairies (10 000 Bq/m2), et vingt fois plus élevée (1000 Bq/m2 en moyenne) que sur les éboulis des mêmes zones. Et alors qu'ailleurs, elle régressait dans les champs, elle tendait encore à augmenter dans les dépressions des forêts ou au mieux à y rester stable sur les pentes. Dans ces zones sous les pentes, des taux moyens de 500 000 Bq/m2 étaient alors mesurés sous les arbres et à leur périphérie. Selon l'IRSN, en 1986, en France, la radioactivité des champignons (met particulièrement recherché par les sangliers) était 5 à 10 fois plus élevée que celle du lait ou des céréales (273 à 1165 Bq/kg pour les champignons analysés dans le Parc National du Mercantour). Plus grave, elle a diminué beaucoup plus lentement chez les champignons, de même que la radioactivité du gibier de 1986 à 2003, (dépassant parfois la limite de commercialisation), ce qui montre qu'il y a bioconcentration et contamination persistante de la chaine alimentaire. Un sanglier consommant les champignons sur une tache de contamination du Mercantour, selon l'IRSN, est exposé à une « dose efficace » très élevée (de 10 à 100 µSv), mais les champignons à fructification souterraine n'ont pas été pris en compte par cette étude, alors qu'on sait qu'ils concentrent probablement mieux encore la radioactivité, avec un délai lié au temps de percolation du césium dans le sol (1cm par an en moyenne). Comme il faut en moyenne 20 ans pour que le césium atteigne leur zone principale de prospection, on peut penser que c'est vers 2006 que ces champignons devraient commencer à devenir très radioactifs, ainsi donc que les sangliers, écureuils, certains micro-mammifères et les animaux qui les mangent ou mangent leurs cadavres, ou ceux qui consommeront des nécrophages.[1]. Une étude récente[2] montre que le phénomène s'aggrave pour le sanglier. Elle a porté sur la contamination du sanglier sauvage par le radiocésium de Tchernobyl dans le Land de Rhénanie-Palatinat (Allemagne), par analyses d'échantillons de 2.433 sangliers tirés dans une zone de 45.400 ha de forêts dans l'ouest de cette région, de janvier 2001 à février 2003.
Les deux dernières années de l'étude (mai 2002 à Février 2003), les chercheurs ont aussi étudié le contenu et la radioactivité des estomac de 689 des sangliers tués. Les résultats montrent que la viande de sanglier suit une courbe saisonnière de contamination en dépassant les taux admissibles en été pour 21 à 26% des sangliers, avec une forte réduction en hiver (1-9.3%) qui indique une consommation plus élevée de nourriture contaminée durant la période de végétation. Le déclin de la contamination observé en Automne semble lié à une grande consommation de glands et faînes de hêtres pas ou peu contaminés.
L'été 2002, une analyse précise du contenu en nourriture des 18 estomacs les plus radioactifs (345 à 1.749 Bq/kg de matière fraîche) a été faite, ainsi que pour les 18 estomac présentant les plus bas taux de césium radioactif (moins de 20 à 199 Bq/kg). Des restes de truffes du cerf (Granulatus Elaphomyces) ont été trouvé dans des proportions beaucoup plus élevées dans les estomacs très contaminés que dans des estomacs faiblement contaminés. Ce champignon semble donc la principale cause de contamination des sangliers. il a été détecté dans les forêts du Palatinat, par un chien truffier à une densité moyenne d'une truffe par 20 mètres carrés, principalement dans les zones de résineux, et avec une teneur moyenne en césium 137 de 6.030 Bq/kg (fm).


Aucun commentaire: