samedi 29 mai 2010

Nouveau procédé de catalyseur pour purifier les effluents notamment des chauffages domestiques.

 

Brevet contre la pollution.

Nouveau procédé de catalyseur pour purifier les effluents notamment des chauffages domestiques.

Il a trait à toute installation, même à l'air libre, à l'industrie pétrochimique et au chauffage. Elle peut aussi s'appliquer à la purification de l'air en dehors de tout chauffage et pour un coût très modique.

J'en suis déjà au troisième prototype qui fonctionne parfaitement depuis deux ans et qui a déjà été testé à entière satisfaction.

L'exploitation commerciale de cette invention étant d'ores et déjà planifiée pour aider à respecter le protocole de Kyoto et l'agenda 21.

Installations notamment de chauffage de 1,5 à 20.000 kW et plus

Elle permet notamment un « rebrûlage » par une forme en tube dans l'axe du foyer ou toute autre forme résistante aux flammes en présence de substances catalytiques ( titane, zirconium, terres rares), et de rayonnements Ultra violets, c.-à-d. une réaction au cours de laquelle notamment le NO s'est décomposé notamment en azote moléculaire neutre. Avec le mazout léger par exemple, on détruit notamment ainsi une bonne partie des NO x provenant du réchauffeur d'air et que la formation de NOx d'origine thermique par la suite n'entraîne qu'une modeste augmentation par rapport à la quantité à l'admission.

Le monoxyde de carbone (CO) provient de la combustion incomplète d'un combustible, à l'opposé du CO2 - qui contient deux atomes d'oxygène, et non un, pour un atome de carbone) qui est le produit d'une combustion complète. Le taux de monoxyde de carbone dans les gaz de combustion sert dès lors à mesurer la qualité de la combustion qui s'améliore grandement, ainsi que les taux de suie, de O2 et des polluants ci-dessous;

Goudron et hydrocarbures

Tout comme le CO, les hydrocarbures polyaromatiques et autres hydrocarbures simples proviennent d'une combustion incomplète; ce sont en quelque sorte les prédécesseurs du CO. La combustion incomplète émet dans l'air des substances extrêmement nocives, telles que le benzène, le toluène, le xylène, le benzopyrène, dibenzothiophène, l'anthracène, ...

La pollution due au chauffage des ménages représente une part non négligeable de ce genre de pollution.

Quantitativement, la principale substance rejetée est le dioxyde de carbone qui, avec la vapeur d'eau, sont source d'inquiétudes en raison du réchauffement mondial. Parmi les autres substances, celles qui préoccupent généralement le plus sont les oxydes de soufre, les oxydes d'azote et les particules. Parmi les autres émissions courantes figurent celles d'oxyde de carbone, de composés organiques volatils (COV), d'hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et, à l'occasion, de composés chlorés comme HCl. L'examen servira à éclaircir les relations entre ces émissions, le type de combustible et les conditions de combustion.

Émissions de SO2 et de SO3

Dans les appareils au mazout, on peut s'attendre à ce que la majeure partie se retrouve dans les gaz de combustion sous la forme SO2, de 1 % à 3 % du soufre dans le mazout peut être oxydé en SO3. Une petite partie peut réagir avec le métal de la chaudière, les dépôts qui se sont formés dans le foyer et l'échangeur de chaleur et les constituants des cendres du combustible. Les émissions de SO2 caractéristiques de mazouts de différentes catégories et teneurs en soufre montrent que pour les mazouts d'usage courant, dont la teneur en soufre peut atteindre 2 % en masse, les émissions de SO2 vont d'environ 100 à 1 000 ppm en volume sur une base sèche pour les gaz d'émission, normalisées à 3 % de O2 dans les gaz d'émission.

Émission de NOX

L'expression NOx englobe les gaz suivants : l'oxyde nitrique (NO) et le dioxyde d'azote (NO2). Des deux, le NO est l'espèce dominante formée au cours des procédés de combustion, mais après avoir été rejeté dans l'atmosphère, il s'oxyde pour se transformer en NO2. NOx d'origine thermique Aux températures élevées qu'atteignent les flammes, certaines molécules d'oxygène et d'azote de l'atmosphère se dissocient en des formes atomiques très réactives qui peuvent se recombiner pour former NO. Cette réaction se produit dans une certaine mesure quand un combustible brûle et elle est la principale réaction qui a lieu quand on brûle des combustibles comme le gaz naturel qui ne renferment pas d'azote organique. On peut réduire voir supprimer les NOx par notre dispositif catalytique en abaissant la température de la flamme et en limitant le plus possible l'excès d'air au cours de la combustion.

NOx du combustible

Ils résultent de l'oxydation d'azote organique présent dans le combustible qui provient de composés aromatiques comme les amines et la pyridine. Les mécanismes sont nombreux et complexes mais des radicaux comme HCN et NH sont d'importants précurseurs. Les conditions d'une chauffe riche en combustible favorisent les mécanismes qui s'opposent à la formation de NO et peuvent décomposer celui qui s'est formé.

NOx spontanés

On les appelle ainsi parce qu'ils se forment au début du procédé de combustion, qu'ils résultent de la réaction de l'azote atmosphérique avec des radicaux d'hydrocarbures formés au cours du craquage du combustible.

Catalyseurs

La post-combustion des gaz à l'aide de catalyseurs reste la meilleure méthode (titane, zirconium, terres rares, émission d'ultra violets par diodes, lampes etc pour favoriser la catalyse). Très semblables à ceux utilisés au départ sur les voitures avec une structure par exemple en nid d'abeille en céramique ou terres réfractaires couverte d'une fine couche de catalyseurs qui favorisent la combustion en présence de marbre ou de substances analogues. Dans tout dispositif de chauffage, c'est la meilleure manière d'obtenir les gaz de combustion les plus propres. C'est aussi possible de mettre ces mêmes dispositifs à l'air libre, en face du soleil, et de purifier ainsi l'air pollué sans autre énergie que celle du soleil.. .


Copyright , François de Siebenthal, Lausanne

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